Rod Stewart On Air -
Fin juin 2015, Rod annonce la sortie en octobre 2015 d'un nouvel album "ANOTHER COUNTRY", écrit et produit avec la collaboration de son vieux copain Kevin Savigar.
In June 2015, Rod announces the release in October 2015 of a new album called "ANOTHER COUNTRY", written and produced in collaboration with his old pal Kevin Savigar
« Profitez de la vie » : Rod Stewart laisse cette dédicace à ceux qui lui tendent
sa récente autobiographie et son nouveau disque, « Another Country ». En la matière,
la rock star britannique en connaît un rayon. En soixante-
.. Après avoir oeuvré dans le Jeff Beck Group puis les mythiques Faces — qu'il compte
reformer sur scène l'an prochain —, Rod Stewart a su se faire un nom en solo avec
des tubes comme « Maggie May », « Tonight's the Night », « Da Ya Think I'm Sexy »
et « Baby Jane ». Rencontre avec un éternel jouisseur, qui garde les pieds sur terre
et l'humour intact.
Vous n'aviez rien composé pendant vingt ans, et vous réalisez
deux albums en deux ans. Quel fut le déclic ?
ROD STEWART. L'écriture de ma biographie.
Et mes nombreuses réunions de famille. Un jour, je me suis dit : avec toutes les
histoires que j'ai vécues, j'ai encore beaucoup de chansons à écrire et d'hommages
à rendre, comme à mon père dans le précédent album.
Cette fois, vous chantez pour
votre plus jeune fils...
J'ai écrit « Batman, Superman, Spiderman » pour mon fils
de 4 ans, à qui je raconte des histoires pour l'endormir. J'aurais probablement été
gêné de composer cette chanson il y a vingt ans mais, en vieillissant, je m'en fous.
J'aime tous les styles, et j'ai la chance d'avoir une voix qui me permet de tout
chanter.
Pourquoi ce titre, « Another Country » ?
C'est mon respect pour les gars qui
partent se battre pour leur pays au bout du monde. J'essaie de me mettre à leur place.
Les longs mois loin de leur famille, leurs amis. Ce qui se passe en Syrie me met
en colère. Pourquoi on ne se regroupe pas en Europe pour combattre cela, je ne comprends
pas.
Quelle enfance avez-
J'ai grandi dans le nord de Londres, pas très loin
d'ici. Je n'en ai que des bons souvenirs. Nous étions humbles, pas très riches, mais
plein d'amour et très soudés. Mes parents, mes frères et soeurs ont fait en sorte
que je garde les pieds sur terre et prenne la vie avec autodérision.
Votre famille
reste une priorité ?
C'est plus important que tout. J'ai tout fait pour que mes huit
enfants soient proches, même s'ils ont un grand écart d'âge (NDLR : de 4 ans à 35 ans).
Avec ma femme, nous sortons souvent avec eux. J'adore quand mes enfants nous invitent
à dîner ou danser. J'accepte toujours sauf qu'à 1 heure du matin, maintenant, je
rentre me coucher (rires).
Soixante-
Non, mon anniversaire a été génial. Nous
avions reformé les Faces et avons joué longtemps. J'aime toujours la scène, le succès
du précédent disque m'a même fait rajeunir. La seule différence, c'est que j'aime
moins voyager.
Reverra-
J'espère bien. Nous en avons très envie avec mon
pote Ron Wood (guitariste des Faces, puis des Rolling Stones). Et, si un promoteur
français nous donne quelque chose, on viendra l'an prochain. Il faudra juste trouver
du temps pour répéter entre la tournée des Rolling Stones en Amérique du Sud et mes
activités.
Depuis 40 ans, vous vivez à Los Angeles. Pourquoi ?
J’ai quitté Londres car les impôts étaient devenus énormes. On nous taxait à 90 %, c’était ridicule ! Mais je reviens souvent. En ce moment, mes enfants y sont scolarisés.
C’est de cet exil fiscal que vient votre réputation de radin ?
(Il soupire). C’est Ron Wood qui a dit une fois que «j’étais si pingre que je passais
une seule couche de peinture». Mais ceux qui me connaissent savent que c’est faux.
D’ailleurs, comment pourrais-
Dans votre livre, vous racontez votre demande en mariage à votre dernière épouse,
Penny...
A Paris, au pied de la tour Eiffel. C'était si romantique. Nous aimons beaucoup
venir à Paris et nous balader au marché aux puces.
C’est Penny qui vous a fait arrêter la cocaïne ?
Elle n’aimait pas quand j’en prenais. Alors, il y a une douzaine d’années, j’ai arrêté. Mais je n’ai jamais été dépendant, c’était surtout festif. Je ne pouvais pas me le permettre le samedi soir, car je devais me lever le lendemain matin pour jouer au football.
Vous jouez toujours au foot ?
J'ai arrêté il y a un an et demi. Jouer jusqu'à 68 ans,
tous les dimanches matin, ce n'est pas mal, non ? Mais un dimanche, alors que je
chantais l'après-
Et les trains miniatures ?
C’est toujours un de mes hobbies préférés. Enfant, je me suis pris de passion pour
les trains. Je suis né à côté de voies ferrées. A ma fenêtre, je regardais passer
les convois. Si mon père ne m’avait pas apporté une guitare quand j’avais onze ans,
j’aurais peut-
« Rod Stewart, l'autobiographie », Ed. Michel Lafon, 400 pages, 20,95 €.
Rod Stewart : «J'ai encore beaucoup de chansons à écrire»
Il a 70 ans, mais reste toujours aussi actif, avec deux albums en deux ans. Rod Stewart nous dévoile les secrets de son éternelle jeunesse.
De notre envoyé spécial à Londres (Royaume-
Vous avez aussi fait la manche à Paris...
Oui, en 1962, devant les Deux Magots. Ce
qui est rigolo, c'est qu'il y a deux-
Sur son nouveau
disque, Rod Stewart
a notamment écrit
une chanson
intitulée "Batmann,
Superman,
Spiderman"
pour son fils
de 4 ans
Classique mais éclectique
SEULE FAUTE de goût sur cet "Another Country" tout frais, dont Rod Stewart a composé
et écrit quasiment toutes les chansons : la pochette bâclée, indigne d'un artiste
si soucieux de son image. Heureusement, la musique est bonne, et les textes autobiographiques
assez sincères pour qu'on y adhère. Pas de jeunisme, c'est classique, mais éclectique
et on picore avec plaisir dans ces 17 chansons. On aime les accents celtiques de
"Love Is", le stonien "Please", les soul "One Night With You" et "In a Broken Dream",
le pop "Walking in the Sunshine"… Autant de preuves que le septuagénaire a retrouvé
l'inspiration. Et qu'il reste l'une des voies majeures de la pop britannique.
E.B.
Si la sortie de TIME avait remué légèrement les médias français en 2013, cette fois-
Bravo à DECCA/CAPITOL RECORDS !
Après beaucoup de recherches, on trouve LE PARISIEN qui publie le 27 octobre une interview relayée sur leur blog "It's Only Rock'n'Roll". On y apprend non sans amusement que si un producteur français le désire, il viendra en France avec LES FACES… C'est de l'humour britannique…
Il existe aussi une news dans le mag culture d'Euronews du 3 novembre. Mieux que rien non ! …
If "TIME" had slightly stirred the French media in 2013, this time with "ANOTHER COUNTRY" we have reached the top of the total inertia. Congratulations to Decca / CAPITOL RECORDS!
After much research, we have found in the newspaper "LE PARISIEN" on October 27 an interview relayed on their blog "It's Only Rock'n'Roll". We learn not without amusement if a French producer wishes it, he will come to France with THE FACES ... This is British humor ...
There is also Euronews in their Culture mag on 3 November. Better than anything either! ...
Méchanceté gratuite, incompétence, imbécillité, mauvaise foi … sont les seules choses à retenir de ces critiques.
A lire les réactions des fans au critique de Rolling Stone ! …
Nastiness, incompetence, stupidity, bad faith ... are the only things to be learned from these criticisms.
Read the reactions of fans at the critical Rolling Stone! ...